Météo & climat

Proposée par A & P

 

 



Remarques et questionnements au sujet
des théories climatiques en vigueur... 
Ne pas confondre aléas météorologiques
avec phénomènes climatiques... 
 
Par exemple, une partie de la Chine connait en février 2024 une météo exceptionnellement froide et humide, avec des records de températures basses et des chutes ne neige sans précédent. Dans le même temps, la France est soumise à une météo exceptionnellement chaude, avec des zones de pluies surabondantes et des inondations, tandis que d'autres zones souffrent d'une sècheresse qui met en péril l'agriculture. 

En revanche, les variations climatiques ne sont pas locales, mais planétaires, et elles suivent des cycles sur des millénaires où se succèdent des périodes glaciaires et interglaciaires, comme le montre le graphique ci-dessous. 
 

Aux premiers temps de la sédentarisation, les Hommes ont été contraints de s'adapter aux aléas météorologiques et/ou climatiques. En particulier, lorsqu'un épisode de sècheresse frappait un territoire cultivé, la communauté se déplaçait vers un autre territoire bénéficiant d'un climat plus clément, propice à l'agriculture. 

Canicule et sècheresse font partie des aléas météorologiques depuis la préhistoire de l'agriculture. Cependant, ce ne sont pas les calamités les plus dévastatrices, ni les plus fréquentes. Sur les 50 dernières années, ce sont les tempêtes, la grêle et le gel tardif qui viennent en tête des calamités agricoles. 
 
Quelques exemples, de 2017 à 2021
Source : Chambre d'agriculture Pyrénées-Orientales

Une succession de calamités
qui questionnent sur la pérennité
des systèmes d’exploitation

2021

- Gel 2021 (toutes cultures)

2020

- Asphyxie racinaire Pêche-Abricot-Amande 19 avril au 10 mai 2020 : calamité reconnue

- Éclatement cerise 19 avril au 10 mai 2020 : calamité reconnue

- Pluie pendant la floraison : Perte de récolte Olive 10-16 mai 2020 : calamité reconnue

- Pluie pendant la floraison : mars 2020 Perte de récolte Pêche Abricot : calamité non reconnue

Sur ce dossier même si l’administration reconnait la perte de 77% des abricots, le dossier n’a pu arriver à terme n’ayant pas la validation de Météo France (caractère exceptionnel du sinistre non reconnu).
S’il avait été validé dans le cadre des calamités agricoles ce dossier aurait généré une indemnisation de 3.7 millions d’euros pour la filière abricot départementale.

- Tempête Gloria 21 au 23 janvier 2020 : catastrophe naturelle + calamité agricole reconnues

2019

- Tempête 22-23 octobre 2019 (vigne, amandier, pêcher, haies, murettes…) : perte de fonds calamité reconnue

- Canicule 28 juin 2019 (vigne, pomme, poire, kaki) calamité reconnue

2018

- Gel 27-28 février 2018 (abricot, fraise, pèche, grenade, amande, artichaut) calamité reconnue

2017

- Grêle 10 juillet 2017  (vigne, abricot, pêche) calamité non reconnue

- Gel 20-22 avril 2017 (vigne, abricot, pêche, artichaut) calamité non reconnue


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D'autres exemples :
 
Enfin, on peut se poser la question du "pourquoi" les épisodes de sècheresse locale sont présentés comme des "phénomènes climatiques", bien qu'il s'agisse  d'aléas météorologiques, et qu'ils sont systématiquement montés en épingle dans les médias grand public, alors que les autres calamités souvent plus lourdes de conséquences pour les agriculteurs passent sous les radars médiatiques ? 

D'autres questions à soulever au sujet du CO2 produit par l'activité humaine, accusé d'être la cause d'un réchauffement planétaire :

  • L'atmosphère contient environ 0,04% de CO2 parmi tous les gaz qui la composent. Les activités de l'Homme en sont responsables pour 3%, soit 0,0012% de la totalité du CO2 contenu dans l'atmosphère,
  • Le CO2 est indispensable à la vie du monde végétal et de la forêt. Si le taux venait à baisser, les forêts et tout le monde végétal seraient menacés. À 0,02% de CO2 il n'y a plus d'arbres, plus de vie sur Terre. 
  • Les courbes de l'évolution des températures sur la planète depuis depuis 800.000 ans montrent des cycles de réchauffement entre deux périodes glacières, totalement indépendantes de toute activité humaine qui n'existaient pas à ce moment-là (voir graphique plus haut).
  • Les analyses de l'air emprisonné dans les glaces de l'Antarctique montre l'évolution cyclique de la concentration de CO2 dans l'atmosphère depuis 800 000 an, sans liens avec l'activité humaine (voir graphique ci-dessous)

Dans le cadre des objectifs de Vallespir Terres Vivantes, il serait intéressant d'ouvrir une réflexion sur les questionnements soulevée par ce sujet, "Météo et Climat"...


 


1 commentaire:

  1. L'Europe traverse actuellement une vague de froid et de neige après une canicule record.
    De tels épisodes sont strictement caractéristiques d’un Grand Minimum Solaire.
    Depuis le 20 avril 2024, une grande partie de l'Europe retrouve une période froide qui pourrait durer jusqu'à la fin du mois.
    Une image satellite sur météo-France montre l'anomalie de température entre le lundi 15 avril et le dimanche 21 avril, allant d'environ 15 °C trop chauds à plus de 10 °C en dessous de la température moyenne.
    Ailleurs dans le monde, on note dans cette période du printemps 2024 des perturbations climatiques qui corroborent la réalité du Grand Minimum Solaire actuel. Ce qui contredit formellement les théories "réchauffistes" et autres balivernes à effet de serre du CO2.
    Précisions données par Marcel Leroux, l'un des plus grands climatologues français...
    https://youtu.be/wVyeZXQCe2w?feature=shared

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