lundi 24 février 2014

RDV aux marchés des 1er et 8 Mars : J'ai la patate !

J'ai la patate !

Céret-en-transition vous invite à créer du lien et partager les fruits de la terre


1) RDV aux marchés des 1er et 8 Mars, devant la mairie, où nous vous offrirons une pomme-de-terre à parrainer.


2) Cultivez-la, bichonnez-la, seul, en famille, entre voisins ou amis.Découverte de méthodes simples et abordables par tous.

3) Venez partager votre récolte pour un repas convivial avec tous les participants qui ont la patate !


Plus d'info : ceret@transition.cat ou 06 81 56 00 12




dimanche 23 février 2014

Petit Marché Slow Food



Le dimanche 2 mars 2014de 9h30 à 17h30
à Château Roussillon,
Slow Food Roussillon organise le premier
Petit Marché Slow Food
=> 20 producteurs locaux (les 2/3 certifiés bio)
=> des animations pour les enfants le matin et l'après-midi
=> possibilité de « casse-croûter »
sur place les mets vendus par les producteurs
=> pot-au-feu de vache de race des Albères
=> animation musicale : troupe l'Avant-bras

Présence d'associations oeuvrant pour
une agriculture et une alimentation meilleures :
=> AMAP Palais du vert : portes-ouvertes et
simulation de distribution de panier
=> boutique paysanne « Oh ! Délices paysans »
=> Slow Food Roussillon :
portes ouvertes, animations (Top chef enfants)
=> les rancios secs du Roussillon(sentinelle Slow Food) : dégustation

Une tombola et des paniers à gagner
(partenariat avec France Bleu Roussillon)
Plaisirs du goût, consommation responsable :
VENEZ NOMBREUX !

slowfoodroussillon.wordpress.com
tel.  0627377804

lundi 17 février 2014

La prison pour avoir refusé de polluer !



La prison pour avoir refusé de polluer !

Chère amie, cher ami,

Emmanuel Giboulot, viticulteur bio dans le département de la Côte-d'Or, exploite depuis plus de quarante ans 10 hectares de vignes en agriculture biologique.

Le 24 février 2014, il passera devant le tribunal correctionnel pour avoir refusé de déverser un dangereux pesticide sur sa vigne. Il encourt jusqu'à 6 mois d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende.

Par solidarité avec lui, je vous demande de signer la déclaration de soutien située en bas de ce message.

Un insecticide qui détruit les abeilles

En juin dernier, pour contrer un risque                             hypothétique d'épidémie de flavescence dorée, une maladie de la vigne, le préfet de Côte-d'Or a pris un arrêté radical : tous les vignerons devront traiter leur vigne contre la cicadelle, l'insecte qui répand la maladie.

Le problème est que même l'insecticide le moins polluant contre la cicadelle tue les abeilles et la faune auxiliaire.

Il détruit toutes sortes d'insectes nécessaires à la régulation de la vigne pour éviter les parasites. Or, Emmanuel Giboulot travaille justement depuis plus de 40 ans à préserver les équilibres biologiques de sa vigne.

Il décide donc, fort logiquement, de lutter contre la cicadelle en choisissant parmi les nombreux traitements naturels bien connus des agriculteurs bio.

Il était tranquillement au travail l'été dernier quand arrive chez lui un inspecteur de la direction régionale de l'Agriculture. L'inspecteur s'aperçoit qu'il n'a pas déversé de pesticide.

Il décide aussitôt de le signaler au procureur. Emmanuel Giboulot est mis en examen, comme un délinquant.

Traîné en correctionnelle !!

Emmanuel Giboulot est convoqué le 24 décembre pour un arrangement amiable avec le procureur, mais celui-ci annule au dernier moment.

Au lieu de classer l'affaire, le procureur décide de le renvoyer devant le tribunal correctionnel, avec un procès le 24 février prochain !

Emmanuel Giboulot sera donc jugé aux côtés de délinquants sexuels et de cambrioleurs endurcis, qui forment la population habituelle des audiences correctionnelles.

Le problème est que, en dehors de quelques réactions isolées, personne ne s'est exprimé publiquement pour défendre Emmanuel Giboulot.

Aucune réaction massive n'a eu lieu dans la population, jusqu'à présent.

L'IPSN avait créé une page de soutien sur Facebook pour Emmanuel Giboulot, qui a récolté plus de 35 000 soutiens. Mais, vu le contexte, la mobilisation doit aujourd'hui être infiniment plus forte et plus officielle.

Les alternatives naturelles sont efficaces !

En effet, contrairement à ce qu'affirment les autorités, il existe plusieurs moyens de protéger les vignes contre la cicadelle tout en respectant l'environnement :

  • les vignes peuvent être protégées avec des fougères et de l'argile calciné ;
     
  • des pièges à cicadelle existent, et ils sont efficaces (la cicadelle est attirée par la couleur orange) ;
     
  • on peut également poser entre les pieds de vigne de la paille d'avoine ou du papier d'aluminium, dont la forte intensité lumineuse empêche l'insecte de se poser. Des expériences ont montré que cette simple mesure est tout aussi efficace que l'insecticide ;
     
  • mais surtout, surtout, c'est en préservant la biodiversité qu'on lutte le mieux contre la cicadelle, car c'est un insecte apprécié par de nombreux prédateurs dans la nature. Le problème est que ces prédateurs, les araignées, la mante religieuse et certains types de punaises, ont aujourd'hui été éradiqués dans les vignes non biologiques, où la                                 faune est ravagée par les insecticides.
     
Ces solutions ne devraient pas être combattues mais au contraire encouragées par les autorités.

Les agriculteurs qui les utilisent devraient êtrefélicités et donnés en exemple, non pas soumis à la terreur d'une répression judiciaire.

C'est pourquoi je vous demande de signer la déclaration de soutien à Emmanuel Giboulot.

Signez la déclaration de soutien

Emmanuel Giboulot ne doit pas se rendre au tribunal abandonné de tous. Il doit savoir qu'il est soutenu par des centaines de milliers de personnes.

Oui, si vous signez la déclaration de soutien ci-dessous, et si vous passez ce message à tout votre carnet d'adresses, nous pouvons provoquer une vague de solidarité historique dans le pays.

Nous pouvons aussi changer l'issue de ce procès en rassemblant des centaines de milliers de signatures de soutien.

Car sans réaction massive de la population, ce viticulteur risque très probablement d’être condamné, pour l'exemple.

La plupart des agriculteurs bios qui verront cela se le tiendront pour dit. Ils comprendront qu'ils doivent obéir aveuglément aux injonctions des autorités, y compris si cela implique d'empoisonner leur propre terre et de décimer plus encore les abeilles et autres insectes pollinisateurs !!

Ne laissez pas se commettre une telle injustice, avec des conséquences aussi lourdes et contraires à l'intérêt de tous. Manifestons publiquement notre réprobation la plus totale contre les réglementations qui marchent à l'envers et qui nuisent autant à l'environnement qu'au bon sens.

L'Institut pour la Protection de la Santé Naturellevous appelle donc solennellement à signer la déclaration officielle de soutien à Emmanuel Giboulot et à la faire signer par tout votre entourage.

Cela ne vous demandera qu'un instant, mais c'est un moyen concret d'empêcher qu'une grave injustice ne soit commise, doublée d'une grave atteinte à notre planète.

S'il vous plaît, ne fermez pas cet email pour l'envoyer aux oubliettes. Ce serait un énorme gâchis. Puisque vous avez investi du temps pour lire ce message jusqu'ici, faites un geste simple et signez la déclaration officielle de soutien à Emmanuel Giboulot.

Puis transmettez ce message à toutes vos connaissances.

Un grand merci,

Avec tout mon dévouement,

Augustin de Livois

Président de l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle 

dimanche 16 février 2014

TROC DE PLANTES - VILLELONGUE DELS MONTS

La 6ème édition de l'échange de plantes à Villelongue dels Monts se déroulera le dimanche 13 avril 2013 à la halle du Roumaguer (le  petit bois ), comme les années précédentes. 

Il est rappelé qu’il s’agit d’échanges de plantes, de plants, de graines, de boutures, de bulbes, et que nous devons nous y préparer pour respecter le principe du troc et concourir à la réussite de cette matinée, 9h30 à 12h. (troc de plantes ) et 14h30 à 17h échanges autour des potions, astuces et trucs au jardin. 

Les participants de plus en plus nombreux à notre bourse d’échanges sont fidèles à notre manifestation car ils savent que nous y préparons avec beaucoup d’attention et qu’ils y trouveront certes des végétaux intéressants mais aussi un bel esprit de partage. Dès que vous pourrez, pensez à faire des boutures, à semer, à mettre de côté des plantes un peu  trop généreuses. 

Pour accompagner la démarche 0 pesticide de notre commune mise en place en 2011 et privilégier les plantes résistantes à la sécheresse et aux maladies, nous vous encourageons à échanger ce type de végétaux qui satisferont bon nombre de jardiniers soucieux d’éviter les traitements et les arrosages.
Coté pratique : le parcours sera fléché depuis la voie rapide jusqu'à la Halle.  Les tables et chaises sont mis à disposition.
A partir de 9h30: Le troc (uniquement le matin) 
A midi, apéritif offert par la municipalité 
Repas tiré du sac  
A partir de 14h30 , nous échangerons préparations, potions, tisanes , recettes, trucs et astuces au jardin. Les purins d'ortie, de consoude, et ainsi que les plantes, prêle, tanaisie, , fougère, ...) lombricompost, eau de bouturage ....seront les bienvenus sous toutes leurs formes. 
N'hésitez pas à en parler autour de vous ! Nous nous retrouverons également  au troc de l'Albère le 11 mai.  
contact: Maryse Fraudet 
06 49 09 37 24

mercredi 12 février 2014

Pétition Non au projet de golf de St Jean Pla de Corts en Pyrénées Orientales !

Non au projet de golf de St Jean Pla de Corts en Pyrénées Orientales ! 


APPEL à tous les amoureux des Pyrénées Orientales, qu'ils soient de passage ou qu'ils habitent ces territoires. 
Nous appelons tout citoyen, associations ou collectivités publiques locales à s'exprimer face au projet de golf de St Jean Pla de Corts afin que celui-ci ne voit pas le jour mais aussi afin que se libère les énergies nouvelles pour une alternative respectueuse des biens communs en Vallespir. 
Adressez la lettre ci-jointe aux collectivités locales concernées des Pyrénées Orientales.Vous pouvez joindre le collectif d'associations à l'adresse suivante:asso@usagersdeleau66.org 


Association des Usagers de l'Eau des Pyrénées Orientales - Association Vallespir Terres Vivantes - Association Citoyens dans les Quartiers de Céret - Association FRENE66 - Association de Protection du Site de Marcevol - Collectif Alternatives aux pesticides 66 


vendredi 7 février 2014

La création d'un golf sur la commune de St Jean Pla de Corts

Mardi 7 janvier 2014
A l'attention de :
- Monsieur René BIDAL, Préfet des Pyrénées Orientales ;
- Madame Hermeline MALHERBE,Présidente du Conseil Général des Pyrénées
Orientales ;
- Monsieur Alain TORRENT, Président de l' Intercommunalité du Vallespir ;
- Monsieur Robert GARRABE, Maire de St Jean Pla de Corts ;

Madame, Messieurs,

La vallée du Tech est soumise à un stress hydrique croissant donnant naissance à des tensions et des conflits d'usage. Cette situation nous oblige aujourd'hui à une reconsidération des usages des masses d'eau du bassin versant pour un partage équitable.

C'est dans ce contexte que le projet de création d'un golf sur la commune de St Jean Pla de Corts se présente. D'après nos informations, la consommation minimale d’un golf 18 trous haut de gamme en Languedoc Roussillon est de de l'ordre de 5000 m3 par jour soit environ 1 million de m3 par an( arrosage sur 180 jours), ce qui correspond à la consommation des usagers de deux communes telles que St Jean Pla de Corts et Céret réunies. Un projet de golf sous-tend fréquemment un projet immobilier qui ne pourrait alors, qu'accroître la pression sur la ressource. Ce type de projet est souvent sujet à débat au sein de l'opinion publique, c'est pourquoi il s'élabore dans l'opacité et suscite toutes nos inquiétudes.

Monsieur le Préfet René Bidal, en 2012, s'est opposé au projet de golf de Villeneuve de la Raho, Le Président du Conseil Régional, Monsieur Christian Bourquin s'oppose au projet de golf de Marcevol, le projet de golf à St Jean Pla de Corts n'a pas aujourd'hui, davantage de justifications d'exister.

D'après le rapport parlementaire du Sénat ( annexe 29 » les golfs et l'eau » du rapport sur » La qualité de l'eau et assainissement en France » ) fondés sur les travaux de l' Agence de l' Eau Rhône-Méditerranée-Corse; la consommation moyenne d'un golf est de 3800 m3 par hectare et par an. Mais cette moyenne masque les grandes différences climatologiques et physiques des sols entre les régions.Les écarts de consommation varient de ce fait de 1 à 1000 ! C'est évidemment dans le pourtour méditerranéen que l'on observe les consommations d'eau les plus élevées.

Ce projet entre en concurrence avec d'autres usages des sols et de l'eau. Ces concurrences seront amplifiées dans les périodes sèches que nous connaissons. Les effets du changement climatique que nous observons et les prospectives établies annoncent une réduction des débits du Tech de l'ordre de 10 % dans un horizon proche.

L'argument d'un golf écologique est un non-sens face aux faits. L'empreinte écologique d'un golf de quelque nature qu'il soit est synonyme d'artificialisation du paysage et de sols rendus très pauvres en biodiversité. Parmi les activités sportives et de loisirs; c'est le golf qui mobilise le plus de ressources naturelles en eau et en sols.

Le devenir des pesticides et des engrais déversés, même en gestion raisonnée, sur les terrains de golf avec l'emploi de variétés de gazon sélectionnés provoque un impact environnemental fort. Les premiers ravageurs des golfs sont les lombrics, les taupes, les larves de coléoptères. La lutte contre ces ravageurs nécessite l'emploi de pesticides et porte atteinte aux insectes pollinisateurs du territoire environnant et à la faune dans son ensemble.

Les gazons utilisés du type supportant les coupes rases tel que l'Agrostis Stolonifera, variété la plus couramment utilisée, nécessite, chaque année l'emploi, selon les indications du semencier de 100 à 200 kgs à l' hectare d'azote, de 50 à 75 kgs de phosphore auquel s'ajoute de 250 à 400 kgs de potasse. Les variétés de gazons employés très spécifiques sont vulnérables aux maladies car pauvres en biodiversité et il a été observé, dans le temps, le développement d'une résistance au Roundup qui peut engendrer une pollution génétique à terme du territoire environnant.

En amont de cette gestion, afin de préparer le terrain à l'enherbement, de manière à obtenir une culture parfaitement homogène, on utilise des pesticides très toxiques tel le métham suite à l'interdiction du bromure de méthyle.

La compatibilité des golfs avec certains oiseaux est difficile telle la présence des canards des étangs de St Jean dont les aliments et les excréments dégradent les gazons.

Le projet d'utilisation des eaux usées envisagé, provenant de la station de St Jean Pla de Corts-, afin de ne pas impacter sur la ressource du bassin versant engendre un certain nombre de questions d'ordre sanitaire et de pollution de la ressource eau. En nous appuyant sur les études réalisées sur le golf de Girone (Catalogne sud, Espagne) qui a fait usage des eaux grises  pour l'arrosage, il a été constaté en période estivale la présence de coliformes fécaux dans le sol, de chlorure de sodium,de chlore en quantités importantes, ainsi que la présence de métaux lourds et de résidus médicamenteux. Or, il s'avère que les capacités technologiques de la toute nouvelle station d'épuration de ST Jean Pla de Corts ne sont pas en mesure de filtrer les pollutions qui ont été enregistrées à Girone.

L'effet cumulé de l'usage des eaux usées associé à celui des engrais et pesticides employés, même de manière contrôlée, aura nécessairement un impact négatif sur les nappes aquifères et altérera la ressource eau particulièrement vulnérable en période estivale.

Les collectivités locales organisées au sein du SAGE de la Plaine du Roussillon et autour du SIGA du Tech -Albères se sont engagées en direction d' une gestion pérenne des masses d'eau tant sur plan qualitatif que quantitatif. Un projet de cette nature va à l'encontre de ce travail d'intérêt général ainsi que des prises de conscience et des évolutions de comportement qui se font jour. L'action contre l'utilisation des pesticides et le mouvement de reconversion d'espaces vert publics, initiatives soutenues par le Conseil Général, au profit de variétés adaptées à notre climat et à son évolution en sont des exemples.

Les Pyrénées Orientales constituent un pays de Cocagne, riche d'une grande biodiversité et de territoires remarquables.Ces terres de lumières, inondées de soleil, irriguées par des canaux d'arrosages hérités d'un patrimoine ancestral ont nourri une économie maraîchère et horticole exceptionnelle encore vivace aujourd'hui.

La profonde mutation du monde que nous vivons, nous conduit à mettre en œuvre une économie et un mode vie plus respectueux de la terre que nous habitons. La France importe 60% de sa consommation en fruits et légumes de culture biologique. Nous assistons à une demande qui ne cesse de croître face aux effets des pesticides sur la santé. D'autre part, la nouvelle donne énergétique fait nécessité aujourd’hui de développer des circuits courts. L'agriculture biologique génère 2,5 fois plus d'emploi que l'agriculture conventionnelle. Par ailleurs, elle ne produit aucune dégradation de la qualité de l'eau. Avançons dans cette perspective !

En conclusion, Monsieur René BIDAL, Préfet des Pyrénées Orientales, Madame Hermeline MALHERBE, Présidente du Conseil Général, Monsieur Alain TORRENT, Président de l'intercommunalité du Vallespir, Monsieur Robert GARRABE, Maire de St Jean Pla de Corts ; nous demandons l'abandon du projet de golf de St Jean Pla de Corts.

Pour l'Association des Usagers de l'Eau des Pyrénées Orientales
Le Président ; Dominique Bonnard
Association Citoyens dans les Quartiers de Céret
Association Vallespir Terres Vivantes


- Madame Hermeline MALHERBE, Présidente du Conseil Général des Pyrénées Orientales
- Monsieur René BIDAL, Préfet du département des Pyrénées Orientales
- Monsieur Alain TORRENT, Président de l' Intercommunalité du Vallespir
- Monsieur Robert GARRABE, Maire de St Jean Pla de Corts



jeudi 6 février 2014

Antennes, OGM, WWOOFing ...

Samedi 08 Février 2014 à 14H30
AG ROBIN DES TOITS
http://www.robindestoits.org/
Salle San Galdric (à côté de l’Eglise) LATOUR BAS ELNE
Association Robin des Toits : présentation
ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE DE L’ANNEE 2013

"SUPER MAUVAISES HERBES"

Les agriculteurs américains font face à une prolifération de «super mauvaises herbes» devenues résistantes aux herbicides.
http://www.tdg.ch/vivre/societe/ogm-accuses-epidemie-mauvaises-herbes/story/19982271?comments=1




WWOOFing
Pétition pour la création d’un statut légal du WWOOFing auprès de la MSA et l’abandon des poursuites judiciaires contre les hôtes wwoof. Alors que le gouvernement fait la promotion du WWOOFing*, qui permet à chacun de découvrir l'agriculture biologique en donnant un peu de son temps à un agriculteur contre le gîte et le couvert, certains adeptes de la pratique, comme Matthias, sont traînés devant la justice pour "travail dissimulé".

VIDEO : "Ces ondes qui font peur" - C dans l'air - 01/02/2014

Reportages de l'émission du vendredi 1 février 2013 :

http://www.france5.fr/c-dans-l-air/sante/ces-ondes-qui-font-peur-38184

Téléphones portables, wifi, antennes-relais… Les ondes sont partout et nous facilitent le quotidien. Mais beaucoup de gens s'inquiètent de leur impact sur l’organisme, et certains demandent l’application du principe de précaution. Alors faut-il avoir peur des ondes électromagnétiques ?

Téléphone portable ou d'appartement sans fil, télécommande infrarouge, wifi, ligne à haute tension… bien des équipements fonctionnent en émettant des ondes dans l'environnement qui se déplacent sous forme de vagues à des fréquences diverses.

Des ondes électromagnétiques de plus en plus accusées par les populations à travers le monde d'être à la source de migraines, érythèmes, nausées, troubles de la concentration, vertiges, palpitations, fourmillements… Alors, paranoïa ou réalité ?

6 Février, journée sans portable

Le 6 février, c'est la journée sans téléphone portable.


Alors que les preuves de la nocivité des ondes se multiplient, en dernier lieu dans le rapport BioInitiative de 2012 qui recense 1800 études faisant état d'un risque, alors que la très prudente OMS a classé les radiofréquences parmi les "cancérigènes possibles", alors que l'Assemblée Nationale vient de voter en première lecture une proposition de loi modérant l'exposition de la population aux ondes, faisons un geste pour notre santé,  et ce jour-là éteignons nos téléphones mobiles - et pendant que nous y sommes, les tablettes et autres objets connectés. Offrons à notre corps un "break" d'exposition continue aux ondes, offrons aux bébés, aux personnes fragiles qui habitent sous les antennes, une nuit plus calme et une belle journée.

samedi 1 février 2014

COLLECTIF ALTERNATIVES PESTICIDES 66

COMMUNIQUE DU « COLLECTIF ALTERNATIVES PESTICIDES 66 »  A L’ATTENTION DES CANDIDATS AUX ELECTIONS MUNICIPALES

Depuis des décennies l'homme a misé sur la chimie pour pallier les désagréments causés aux cultures par les plantes et insectes « indésirables ».

Aujourd'hui une majorité du monde scientifique s'accorde à dire que nous sommes en situation d'échec : développement de plantes et d'insectes ravageurs résistants aux produits chimiques, mortalité hors normes d'insectes pollinisateurs comme les abeilles sauvages ou domestiques.

L'agrochimie tente de répondre avec de nouvelles molécules encore plus puissantes et destructrices. La problématique ne cesse de s'accentuer en se compliquant.

Conscient de la dangerosité des pesticides, pour l'écosystème et pour la santé de l'être humain, le Grenelle 2 de l'environnement a décidé la réduction et à terme l'interdiction des produits phytopharmaceutiques. (Décret n° 2011-1325 du 20 octobre 2011)

Suite au rapport du sénat d’octobre 2012 sur les pesticides, la loi votée le 23 janvier 2014 vise à en interdire l’emploi en zone non agricole ainsi que la vente aux particuliers.

Cet enjeu est de notre responsabilité collective. Elus et citoyens.

C'est pourquoi le Collectif Alternatives aux Pesticides 66 demande aux candidats(es) aux prochaines élections municipales de s’engager à anticiper ces mesures pour atteindre l’objectif du « zéro pesticide » à l’horizon 2018 sur l’espace public.


Perpignan, le 27 janvier 2014


Site : www.cap66.net